29 mai 2008
27 mai 2008
De couleur "reggae" à couleur pourpre, il n'y a qu'un jazz

Libellés : jazz pourpre, monty alexander
25 mai 2008
Dans les rues de Souillac... les Aristo Catr'

Les Aristo catr’ animeront les rues de Souillac du jeudi au dimanche et donneront un concert le dimanche à Pinsac. C’est une formation de jazz New Orleans constituée d’une base instrumentale réduite à l’essentiel d’un orchestre de jazz traditionnel. On y retrouve le soubassophone, le banjo, le trombone et la clarinette, chaque instrument apportant un rôle spécifique dans les exposés de thèmes : ligne de basse, rythmique, contrepoint et mélodie.
Le répertoire du quartet puise largement dans les standards joués par Louis Amstrong , les thèmes des années 20, 30. Alors « jazzons et swingons ». Les musiciens qui composent ce petit combo ne sont pas des inconnus du public de jazz régional et national. Habitués des scènes jazzistiques, tout style, tout terrain, ils prennent un malin plaisir à redonner vie aux vieux standards éculés, et comme ces bougres ne sont pas tout à fait maladroits, le public est ravi !
Les Aristo Catr’ du 17 au 20 juillet :
Bigeardel Bernard….Trombone
Penot François……Clarinette
Bercé Jean François…..Tuba
Pendaries Serge …..Banjo
Libellés : aristo catr'
David S. Ware and his friends

L'espace est saturé de sons, nombreux, divers, furtifs ou longs, qui traduisent l'engagement extrêmement fort de chacun des musiciens. Car S. Ware sur scène, c'est une multitude de moments d'expression personnelle mise en quartet. Hier soir, l'espace était saturé de sons.
21 mai 2008
"À propos de jazz et de ses écrits"


Michel Boujut a publié au mois de février La vie de Marie-thérèse qui bifurqua quand sa passion pour le jazz prit une forme excessive chez Rivages/Noir, une enquête menée à Toulouse sur un fait divers sanglant auquel a été mêlée Marie-Thérèse Désormeaux, entre fiction et réalité, à l’époque où le jazz, en plein essor, était encore considéré comme « la musique du bas-ventre». Jean-Marc Lajudie, dans Carnet de notes d'un batteur aux Éditions Mines de rien, évoque toute sa vie de musicien et d’enseignant, souvenirs toniques et émouvants, illustrés des photos au cadrage si personnel de Pascal Rabot. Christian Laurella dans Tournée générale aux Éditions du Layeur nous fait partager ses tribulations de tour manager, les aléas de celui qui accompagne les artistes quand les annuaires de trains et d'avions ont remplacé le papier à musique, les anecdotes qui rendent plus proches ceux qui donnent tant de musique. Anne Legrand a réuni dans sa thèse en cours de publication un très gros travail sur Charles Delaunay. Pourquoi, pour qui écrivent-ils ? et que nous disent-ils ? nous en débattrons le samedi 19 juillet à partir de 15h30 place de
18 mai 2008
Y'en a pour tous les jazzs !

Libellés : Michel Portal, Robin McKelle, Sylvain Luc
Jazz au cinéma

Retour à Gorée : Le cinéma l’ABC de Toulouse a fermé ses locaux rue Saint-Bernard et a eu l’excellente idée de se relocaliser au cœur de Bellefontaine au centre culturel Alban Minville.
Le soir de la projection de Retour à Gorée, un lundi, dans ce quartier périphérique de Toulouse, je m’attendais à un public pour le moins restreint. Un groupe assez important de femmes est venu s’installer, bavardes et enjouées. Un second groupe est arrivé : «des huiles» m’a chuchoté ma voisine. En effet, députées, conseillères générales ainsi que Madame Beloubet, première adjointe au maire de Toulouse sont venues, avec plusieurs personnalités de la vie culturelle toulousaine, soutenir la présence de l’ABC à Bellefontaine. Un public pas toujours habitué à se côtoyer. Les premières images du film ont débarqué tout le monde à Gorée, devant la porte du « voyage sans retour » par où sont passés les milliers d’Africains déportés comme esclaves en Amérique. Le gardien des lieux et de la mémoire charge Youssou Ndour de partir à la rencontre des traces musicales de l’Afrique en Amérique. Avec son ami, le pianiste Moncef Genoud, Youssou Ndour parcourt les Etats-Unis en commençant par le Sud, berceau du jazz : il chante avec un chœur de Gospel Songs, il se promène à
Le film Retour à Gorée sera projeté lors du festival de jazz de Souillac, le lundi 14 juillet à 21h au cinéma Le Paris.
Marie-Françoise
Libellés : Gorée, Idris Muhammad, Sénégal, Youssou Ndour
15 mai 2008
The Crazy Jazz Band

Christophe Tellez, sax ténor, scat
Eric Gilles, banjo
Marc Oriol, sousaphone
photo Crazy jazz band
Libellés : crazy jazz band
12 mai 2008
duo, élégance et poésie

09 mai 2008
Françoise Fognini Quartet

08 mai 2008
David S. Ware, We Insist

Et puisqu'il peut y avoir doute, il y a site. C'est ici.
06 mai 2008
Jazz en Comminges. Evidence Sérénité Tellement trois

Le son, la posture, la sérénité et surtout le regard, particulièrement singuliers. Ils sont uniques, il est UN, le Trio d’Esbjörn Svensson.
Chaque geste est mesuré comme chaque temps relevé avec perfection par Magnus Oström. Il a brillé hier soir, en puisant chez Led Zeppelin tout en réaffirmant l’invention propre au groupe : c’était frappant ! Dan Berglund a fait vibrer la même corde, dans un morceau en particulier, sorte d’hommage aux transgressions d’Hendrix.
Or, on ne se lasserait jamais d’E.S.T. car ils se gardent bien de tirer un seul fil. Il leur faut prendre partout ce qu’il y a de meilleur.
Esbjörn Svensson, qui signe l’essentiel des compositions, se penche sur le clavier jusqu’à l’effleurer du bout de son nez. Comme s’il devait même entendre le choc de ses phalanges avec les touches du piano pour être sûr de ce qu’il joue. Cette proximité est la même, incontestable et inébranlable, des trois musiciens. Mais c’est aussi celle d’un homme avec sa musique et, par là, avec chacun des auditeurs. Il m’a semblé vivre seule ce voyage, même si je sentais bien la présence du public autour de moi, envoûté. Comment ne pas ressentir l’intimité qu’ils cultivent ? un peu comme avec un vieux copain qu’on n’a pas vu depuis des siècles mais qu’on retrouve comme si on ne s’était pas quittés. C’est cette espèce de confiance et de compréhension naturelles que j’appellerais une évidence. Evidence de chaque son qui semble à sa place, tant dans la tendresse de certains thèmes que dans l’explosion d’improvisations pour le moins impressionnantes. Car il y a, simultanément, la surprise : ils inventent tout le temps… et ensemble ! du nouveau qui coule de source, c’est rare. Rare aussi le comportement de ces trois hommes, simples, généreux, respectueux.
Peu de « rock stars » conservent cette humilité et cela en ajoute à notre admiration. Le concert a commencé tard, dommage, on en voulait encore plus. Mais sûr que la coda a résonné, la nuit dernière, dans des rêves de Suède à Toulouse…
Guettons leur plan de tournée : nous n’irons pas à Ottawa mais au Luxembourg pourquoi pas ?
Et puis aussi, finalement, une pensée pour Gilles qui a eu l’immense honneur de se faire souhaiter son anniversaire par ces messieurs…
Juliette
photo Gilles Gaujarengues
Libellés : E.S.T., Jazz en Comminges
05 mai 2008
Jazz en Comminges

Vendredi 2 mai, deux concerts dans une programmation enthousiasmante du festival Jazz en Comminges : le quartet Moutin Réunion et le trio E.S.T.
Ça vaut bien deux articles ! La salle du Parc des expositions de Saint-Gaudens - agréable lieu de concert où chacun entend bien et voit bien - est pratiquement pleine. Nos tracts de « souillacenjazz » nous donnent l’occasion d’échanger avec des spectateurs, qui, bien sûr, connaissent la réputation du festival de Souillac.
Le concert donné par les frères Moutin et leurs deux acolytes aiguise nos oreilles par sa force et sa tonicité. Les musiciens jouent des contrastes : les trois premiers thèmes, nostalgiques, sont repris avec vivacité et rapidité dans des chorus très animés. Un « duo de jumeaux », avec respectivement François à la contrebasse et Louis à la batterie, bouillonne d’énergie. La complicité entre les deux frères fabrique un nouvel instrument « bassebatterie » ou « battebasserie » d’où jaillit une musique déchaînée. Ce nouvel instrument installé, il prend des solos dans les morceaux qui suivent et la contrebasse transpire à grosses gouttes. Les interventions de Rick Margitza, ciselées, et celles de Pierre de Bethmann, voyageuses, paraissent trop courtes ; on aimerait les écouter encore et encore. Un concert construit, vif, où l’humour côtoie la poésie, nous ouvre l’appétit pour la suite, E.S.T. … mais c’est une autre histoire. Marie-Françoise
François Moutin, basse
Louis Moutin, batterie
Rick Margitza, saxophone
Pierre de Bethmann, piano
Libellés : Jazz en Comminges, Moutin Réunion, Pierre de Bethmann, Rick Margitza
04 mai 2008
6e Victoires du Jazz
Libellés : victoires du jazz
03 mai 2008
Ballades en balades et réciproquement

La randonnée empruntera le circuit « un chemin, une école » collaboration entre les "Amis des Sentiers Souillagais" et l’école primaire de Souillac.
Le parcours d’environ 12 kms, accessible à tous, pas trop vallonné et ombragé longera en partie la vallée de la Borrèze.
Deux pauses musicales animées par le Crazy Jazz Band permettront aux randonneurs de reposer les muscles tout en réjouissant les oreilles et les neurones.
Le départ aura lieu à 13H30 précises place Pierre Betz
Inscription sur place à partir de 13H.
Arrivée vers 17H45 place de la halle pour pouvoir assister au spectacle de clôture du stage de danse jazz puis à l’heure d’orgue jazz organisée par les "Amis de l'orgue de l'église Sainte Marie de Souillac" dans le Cloître avec le trio Barbaro puis à l’apéro-jazz place Pierre Betz avec Curcuma et enfin en soirée place de l'Eglise à Pinsac pour assister à la prestation d'Aristo Catr' en collaboration avec la municipalité de Pinsac.
Randonnée le matin pour les plus exigeants. Quelle journée ! ça me jazztouille les mollets!
Pour tout renseignement complémentaire :
Alain JALLAIS : 06 88 15 08 17
Jean Pierre BARATAUD : 05 65 37 10 93
Libellés : crazy jazz band, randonnée jazz, souillac en jazz
02 mai 2008
Mina Agossi et Archie Shepp le maître qui l'élève

PS : Mina, quand viens-tu au château qui domine la Dordogne ?
Robert Peyrillou
Libellés : Archie Shepp, elisa portier, jean-henri meunier, mina agossi, une voix nomade
01 mai 2008
Danse et compagnie
La musique et la danse sont des compagnes indissociables et la concrétisation de cette entente au festival de Souillac se réalise à travers les stages de danse et le spectacle du dimanche.
Ce spectacle est élaboré par deux professeurs de danse avec leurs stagiaires et le soutien d’un percussionniste.
Valérie Céline anime un cours pour les plus jeunes, de 5 à 10 ans, déliant leurs gestes et leurs postures, en appui sur une écoute des rythmes. La danse leur offre un immense registre où tout peut s’exprimer : tendresse, beauté, révolte, violence, espérance…
Marie-Hélène Plassan réunit les adolescents et les adultes dans un stage de danse afro-jazz, inspirée par la présence du musicien accompagnateur au djembé. Elle propose un travail en face à face, sur le cercle, sur les bases des mouvements archétypaux de la danse africaine, dans l’écoute et le respect de l’autre.
Les stages sont gratuits, sur inscription préalable ; ils se dérouleront au gymnase de
Le dimanche 20 juillet un spectacle musique et danse sera présenté sous
Marie-Françoise
Photos Marc Pivaudran