Quand Grand’mère racontait des bobards !*
Nous étions au moins 300 au mariage du jazz à la Béchet avec les musiques d’Europe de l’Est façon klezmer. Ms N.C. convole avec M Moscovitz. Brigitte et Pierre sont là, Jean-Pierre, Thierry, Didier, les amis de Roumania aussi. D’autres ont amené leur guitare comme Sheryl Bailey un des plus beaux sons de guitare et Allen Watzky, c’est la première fois que je le vois lui. Il y a un nouveau venu aussi, Fred Liebert le « Roi Lion » à la basse électrique. C’est Josh Dolgin dit SoCalled qui l’a amené avec lui, on dirait qu’il a toujours été là. Derrière les fûts il y a Michael Sarin subtil à souhait, (si délicat que pour ne pas froisser ses peaux, les recouvre d’une couverture) et bien sûr, le maître au milieu, le maître de cérémonie : David Krakauer.
SoCalled, jeune professeur Tournesol attise constamment la braise pour que la fête brûle de mille feux. Tour à tour pianiste, accordéoniste, chanteur, le DJ canadien est ce qui est arrivé de mieux au Klezmer Madness depuis 2003 où Krakauer l’amena à Cracovie avec lui. La musique mise au point par les 2 amis est d’une modernité redoutable, la fluidité de la clarinette se marie magnifiquement à l’échantillonneur du chanteur tantôt rap tantôt yiddish. Le jazz de l’Ouest passe à la moulinette les vieux airs venus de l’Est, c’est la farandole de toutes les traditions, de toutes les cultures. L’énergie développée est communicative et le public debout salle allumée tape dans les mains pendant les 2 rappels, quelle générosité, quelle fête !
Robert
* traduction du yiddish Bubbemeises titre du dernier CD (photo Mako)
SoCalled, jeune professeur Tournesol attise constamment la braise pour que la fête brûle de mille feux. Tour à tour pianiste, accordéoniste, chanteur, le DJ canadien est ce qui est arrivé de mieux au Klezmer Madness depuis 2003 où Krakauer l’amena à Cracovie avec lui. La musique mise au point par les 2 amis est d’une modernité redoutable, la fluidité de la clarinette se marie magnifiquement à l’échantillonneur du chanteur tantôt rap tantôt yiddish. Le jazz de l’Ouest passe à la moulinette les vieux airs venus de l’Est, c’est la farandole de toutes les traditions, de toutes les cultures. L’énergie développée est communicative et le public debout salle allumée tape dans les mains pendant les 2 rappels, quelle générosité, quelle fête !
Robert
* traduction du yiddish Bubbemeises titre du dernier CD (photo Mako)
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