En jazz, il faut tenir Le Cap
La musique
d'Abdullah Ibrahim reflète la complexité identitaire de son pays, à travers la
richesse et la diversité empruntées aux chants Malay du Cap, à la musique
traditionnelle africaine, aux succès populaires de l'époque, à la musique de
carnaval, aux standards de jazz afro-américain et aux musiques religieuses.
S'inspirant
pour cette création des mélodies et des rythmes très festifs, mais aussi de la
dimension sacrée qui traverse les thèmes du grand compositeur sud-africain
Dollar Brand/Abdullah Ibrahim, Didier Labbé propose un répertoire de compositions
personnelles et de reprises, mariant l'art de la nuance et une fougue presque
sauvage...
Les thèmes
se succèdent tantôt festifs, tantôt plus abstraits qui emmènent ce programme
au-delà d'une rencontre entre world-music et free jazz.
Didier Labbé sax alto flûte Alain Laspeyres batterie Laurent Guitton tuba Grégory Daltin accordéon
réservation : 05 65 38 29 08 tarifs 15, 12 et 5€
Vendredi 8 avril à 20h30 / Souillac – Cinéma Le Paris
Samedi 9 avril à 20h30 / Saint Céré – Théâtre de l'usine
photo: mamyscopitone
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