Assier. Mineral Paradoxe
Il est très agréable d'aller au festival d'Assier. D'abord parce que, comme chaque année, Assier ose et cette prise de risque témoigne de la considération dans laquelle ils tiennent leurs spectateurs et les musiciens qu'ils programment; ensuite parce que la cour du château offre un décor magnifique. Enfin, l'accueil chaleureux et authentique de l'équipe organisatrice ne gâche rien.
Samedi dernier, nous étions quelques-uns de Souillac en Jazz à nous régaler du concert donné par Mineral Paradoxe, trio emmené par Bruno Wilhelm (sax) et constitué de Edward Perraud (batterie) et Arnaud Cuisinier (basse).
Les fortes personnalités des musiciens les portaient vers des recherches de sons et nous avons particulièrement apprécié l'attitude extravertie d'Edward Perraud. Mais, en plus des sons stridents, violents, dérangeants, dissonnants, la ligne mélodique du sax faisait aussi office de liant et contribuait ainsi à faire du trio une quatrième personne.
Que vive l'audace d'Assier dans tous ses états.
Les fortes personnalités des musiciens les portaient vers des recherches de sons et nous avons particulièrement apprécié l'attitude extravertie d'Edward Perraud. Mais, en plus des sons stridents, violents, dérangeants, dissonnants, la ligne mélodique du sax faisait aussi office de liant et contribuait ainsi à faire du trio une quatrième personne.
Que vive l'audace d'Assier dans tous ses états.
Marie-Françoise
et Gilles
et Gilles
Libellés : assier, mineral paradoxe, wilhelm
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