Their names are Viktor Lazlo, Billie Holiday, Inge Brandenburg
Ces temps-ci, Billie nous envahit et qui s'en plaindrait ?
Je viens de lire "My name is Billie Holiday" de Viktor Lazlo, avec qui j'ai eu le plaisir d'échanger sur la diva. Son roman nous fait entrer dans les vies de Sarah, Claudine, Billie, ... une mère, une fille ... une addicte, une chanteuse, qui est qui ? Les voix se mêlent, les sentiments, les errements, au travers d'une belle écriture, le roman est rythmé comme une chanson, tout est jazz, de quoi monter un spectacle ... joué actuellement au Théâtre Rive gauche dans le 14e à Paris, sur une mise en scène d'Eric-Emmanuel Schmitt et avec la fine fleur des jazzmen belges, Belgique où le spectacle avait été créé il y a un an.
Billie, c'est aussi sur Arte mercredi 12 décembre à 22h30, un film de Frank Cassenti "Billie Holiday forever". Ce sera pour Souillac en jazz l'occasion de revoir Archie Shepp parler de "celle qui a la voix qui pleure sans qu'on entende les larmes".
La veille, mardi 11 décembre, il faut se lever tôt ou alors mettre le magnétoscope ! car à 6h, Arte rediffuse "La lady allemande du jazz". C'est un magnifique portrait d'Inge Brandenburg (photo ci-dessous DR), qui ne "dépareille" pas, celle qui est souvent comparée à Billie Holiday est un peu notre Lady Day à nous, sacrée meilleure chanteuse européenne de jazz à Antibes en 1960.
Robert Peyrillou
1 Comments:
J'ai vu le spectacle de Viktor Lazlo à Bruxelles. Très belle évocation. Originale et "jouée" par d'excellents jazzmen ! Pas encore lu le livre... Mais, c'est pour bientôt. :-)
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