« Le jazz vous inspirera de belles idées, il vous aidera à vous sentir bien » Louis Armstrong
Parler de Louis Armstrong, pour moi, c’est aussi parler de Sim Copans, d'un des quatre grands maîtres dont il parlait dans ses conférences et que l'on retrouve sur le CD accompagnant le livre en hommage à Sim Copans: "Play it again, Sim". Alors, avec la sortie du magnifique livre « Les carnets de collages de Louis Armstrong » de Steven Brower aux éditions de la Martinière, je m’y colle. Ce n’est pas un xième livre sur Satchmo, celui-ci nous fait pénétrer dans l’univers du trompettiste, son « chez soi », ses laxatifs ! ses murs couverts de découpages le concernant et ses boîtes de bandes magnétiques recouvertes des mêmes collages, la dactylographie un autre hobby tout comme le ruban adhésif ! l’étoile juive qu’il portait comme porte-bonheur…des enfants qu’il n’a pas eu, du Pape Pie XII et d’espionnage en Egypte pour le compte d’Israël. C’est grâce à l’aide d’une famille de russes juifs : les Karnosfky chez qui il travailla comme ferrailleur, qu’il achèta sa première trompette. En 1999, le président Clinton annonça que la trompette de Louis Armstrong comptait parmi les souvenirs nationaux qui seraient enfermés dans la National Millennial Time Capsule destinée à être rouverte en 2099. Donc, à bientôt.
Robert Peyrillou
Libellés : les carnets de collages de louis armstrong
1 Comments:
Super ton article Bob, je vais bosser un peu pour etre à ton niveau, boss!
Dam's
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