Tortiller and Co

Mais je n’avais jamais vu l’O.N.J. de Tortiller, ni les autres d’ailleurs, et on m’avait dit le plus grand bien de leurs concerts. De toute façon, à 36-0, le match était très certainement à sens unique et j’attendrais France/Irlande avec une victoire que j’espère insulaire.
Au Sunset, la mi-temps fut malheureusement trop longue mais il faut faire marcher la buvette (4,80€ le demi !), source de revenus pour des clubs et des festivals qui trouvent leur vie comptable de plus en plus dure. Deux sets donc avec ouvertures aux samples (Claude Gomez), batterie rock et les années 1970 comme influence (Led Zep, Miles Davis, Herbie Hancock…). Car, pour Tortiller, elles sont fondamentales : «Quiconque entreprendra de raconter l’histoire des musiques populaires du tournant du XXIe s., ne pourra qu’accorder une place essentielle et engagée à cet âge d’or miraculeux allant de 1968 à 1974» ; un projet qui me fait penser à Médéric Collignon. Années 1970, héritage de 1968, du rock, des mélanges, de la fusion… Bref éclectique et électrique. C’est tout ça qui se donnait à voir et à écouter hier soir rue des Lombards et on a beaucoup applaudi.
Gilles
1 Comments:
L’O.N.J. c’est aussi Jean Gobinet (tp, bugle), Joël Chausse (tp, bugle), Eric Seva (s), Jean-Louis Pommier (tb) et Miche Marre (tp, bugle).
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